PALESTINE


NOTRE PARTENAIRE : le FARAH CHILDHOOD GROUPS

Réseau associatif de 18 crèches et jardins d enfants (1500 enfants) de 0 à 4 ans,
en Cisjordanie et à Gaza, né en 1982 à l initiative de l association « Palestinian Workers Women ».

Le Farah Childhood Group est le partenaire pour la petite enfance du FTM
et de la CCAS des électriciens et gazier.

Fadwa Khader, Présidente du Farah Group, invitée du FTM
et recue à la CMCAS de Nice et de Marseille les 18 et 19 septembre 2009.
Elle a transmis les remerciements des familles palestiniennes dont les enfants ont séjourné en vacances en France
Elle a apporté un témoignage précieux sur les bienfaits que ce séjour a apporté aux enfants.
"Ils sont revenus transformés, heureux, plus autonomes, plus structurés.
Ces séjours sont fondamentaux; il faut non seulement les renouveler mais les développer.
Il y a déjà de nombreux enfants en liste d'attente pour les prochaines vacances!"

AOUT 2009/ ENFANTS PALESTINIENS EN VACANCES
LOIN DE L 'ENFER QU'ILS VIVENTSUR LEUR TERRE OCCUPEE
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Complices et amies

Libre!


Ils sont là! Grâce à votre solidarité
Vous pouvez les rencontrer au cours de la soirée repas que nous organisons à GRASSE avant leur retour

MERCREDI 26 AOUT 2009à partir de 18h 30
" Clos de boules du Gazelec " angle av. Ste Marguerite / Route du Plan
(Pépinière Ste Marguerite - Collège des Jasmins) Le Plan de Grasse

Le repas est préparé par des agents retraités d'EDF/GDF.
Une participation symbolique de 8 € est demandée.
Réservation, par mail ou par téléphone : ftmed@wanadoo.fr, 04 93 36 28 18.


LE BONHEUR

A LA PALUD SUR VERDON!

ENFANTS PALESTINIENS EN VACANCES EN FRANCE
IL FAUT CONTINUER!

Depuis sept ans, notre association Festival TransMéditerranée organise chaque été en partenariat avec la CCAS des Électriciens et Gaziers un séjour de vacances pour des enfants palestiniens.
Cet été, la possibilité de reconduire cette action de solidarité est fortement compromise en raison d'une baisse notable des subventions. Or, cette année plus que jamais après la tragédie de Gaza et l'extrême dégradation de la situation en Cisjordanie les enfants palestiniens ont besoin de notre solidarité.
C'est pourquoi nous faisons appel à votre soutien pour nous aider à trouver les fonds nécessaires.
Nous lançons une souscription.
Nous organisons un repas de solidarité
Vendredi 29 mai 2009 à partir de 19h " Clos de boules du Gazelec "
(Route du Plan - angle av. Ste Marguerite) Le Plan de Grasse


Vous pourrez également y trouver un choix de livres et
des produits artisanaux de coopératives de femmes de Cisjordanie

Réservation repas et souscription: cliquer ici

UN GRAND MERCI ATOUS!

Une centaine de personnes ont répondu présentes vendredi 29 mai à la soirée de solidarité qui s'est déroulée sur le terrain des Electriciens et Gaziers au Plan de Grasse autour d'un (excellent) couscous confectionné par des bénévoles. Les bénéfices du repas, des ventes de produits artisanaux palestiniens et de la tombola sont allés s'ajouter à tous les dons parvenus au FTM. Depuis que l'association Festival TransMéditerranée a lancé son appel pour faire venir en vacances comme chaque année depuis 2002, 10 adolescents palestiniens, la mobilisation ne faiblit pas. Paul Euzière, président du FTM s'en est réjoui lors de son discours de bienvenue et a rappelé combien il était important " pour ces gamins de voir autre chose que des chars et des check point ". Maintenant toute l'équipe du FTM espère que les institutions aussi répondront à l'appel…

Discours de bienvenue de Paul Euzière

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Notre principal partenaire: Le Farah group Center
Réseau de crèches et de jardins d'enfants de Cisjordanie
Egalement un relais pour l'accueil en vacances en France d'adolescents palestiniens.

Les crèches et jardins d'enfants sont situées notamment à :
El Ram, Naplouse, Jérusalem-Est, Bethleem, Beit-Sahour,
Hebron, Burga-Jenine, Camp de El Farâa (près de Naplouse).




       

Jardin d'enfants d'El Ram

Août 2002

Accueil d'enfants palestiniens

en Région Rhône-Alpes

Du 1 au 23 août 2002, 9 enfants palestiniens d 'une dizaine d 'années accompagnés
de deux étudiantes ont séjourné en Région Rhônes-Alpes dans le centre de
vacances jeunesse - CCAS de Saint Barthélémy. (Ardèche)

Ce séjour a permis un échange et un partage des cultures (réalisation de spectacles, de repas typiques, )
avec les enfants des électriciens et gaziers.

Août 2004

en Provence Alpes-Côte d'Azur

au centre de vacances de la CCAS de St Martin-Vésubie
(Alpes- Maritimes)

Le groupe a séjourné du 6 au 23 août au centre de vacances de la CCAS de St Martin de Vésubie en compagnie de 60 enfants d'agents d' EDF - GDF. Le séjour était organisé par le FTM en partenariat avec la CCAS des électriciens et gaziers et avec son partenaire palestinien de 10 ans le
" Farah Childhoop group "

Les filles et les garçons de Palestine âgés de 10 à 14 ans leurs deux accompagnateurs (Suheil Khader, responsable syndical à Jérusalem et Aya Ashour, professeur de chimie à Naplouse), Paul Euzière, président du FTM, Christian Robert de la direction de la CCAS, Adeline Mouton, conseillère régionale PACA, vice-présidente de la commission solidarités, l'équipe d' animateurs du (FTM - CCAS)
et du centre du Rayet de la CMCAS de Nice...

 

 

Août 2005

Accueil d'enfanten PACA - Vaucluse - Apt

Pas de vacances pour la solidarité

« Grâce à vous nos enfants ont retrouvé le sourire».
C'est bien là la meilleure des récompenses pour les artisans de la solidarité avec le peuple palestinien, particulièrement les enfants. Parmi eux, l'association Festival Transmediterranée (soutenue par le Conseil régional PACA) et la CCAS des électriciens et gaziers.

Pour la quatrième année, ils ont accueilli en août 2005 dans un centre de vacances de la CCAS du Vaucluse , des filles et  garçons de Cisjordanie âgés de 12 à 14 ans, dans le cadre d'un partenariat existant depuis plus de 10 ans avec le Farah Childhood Group, réseau indépendant de crèches et de jardins d'enfants.

A Apt, au coeur du Lubéron, entre vignobles et Mont Ventoux, les enfants palestiniens ont partagé trois semaines pleines de découvertes, de joies et d'échanges avec une trentaine d'autres enfants d'électriciens et gaziers de France. C'était leur premier voyage à l'étranger, sans doute leurs premières vacances. Des moments inoubliables aussi bien pour les filles Hanine, Walaa, Nadine, Majd que pour les garçons Firas, Fady, Issam, Fadi et Karim. Equitation, randos, VTT, théâtre, visites culturelles, piscine, jeux, boums et tant de complicité et d'amitié !

                

Ils sont repartis la tête pleine d'espoir et de nouveaux amis, chez eux à Jérusalem, Hebron, Ramallah ou El Ram, séparés les uns des autres par le Mur et la survie, en quête de paix, de justice, de mieux-être et d'insouciance. En effet, pour ces enfants, qui ont choisi de reproduire une scène de violence au passage d'un check point comme thème de leur activité théâtrale, il y a désormais d'autres possibles, alors que leurs camarades français ont fait l'apprentissage de l'Autre, celui qui souffre,  se bat, et comme lui,  aime faire la fête. A la veille de leur départ, une rencontre amicale a eu lieu avec les enfants et leurs accompagnateurs, les organisateurs et partenaires de cette action : Festival Transméditerranée, responsables  de la CCAS, le Directeur du centre et son équipe en présence des conseillers régionaux PACA, Adeline Mouton et Frédéric Meyer.

A la question récurrente : que peut-on faire pour les enfants de Palestine, Suheil Khader, leur accompagnateur a appelé à multiplier ce type d';initiatives en direction d'autres enfants, à renforcer les liens humains entre Français et Palestiniens, au travers de délégations sur place, de partenariats aux niveau syndical, associatif et des sociétés civiles. Une chose est sûre, il faut rompre l'isolement que subissent chaque jour davantage les Palestiniens notamment du fait du Mur et de la désinformation.Pour redonner le sourire à d'autres enfants de Palestine, promesse a été faite, non seulement de poursuivre leur action, mais de la renforcer et de l'élargir.

           

Août 2006

Accueil d'enfants palestiniens
au centre de vacances de la CCAS de Signes (Var)

C'est à Signes dans le Var, non loin du célèbre Castellet, que 10 enfants palestiniens (6 garçons et 4 filles) âgés de 12 à 14 ans, ont passé des vacances en compagnie d'enfants français de leur âge. Grâce à la constance du partenariat entre la CCAS et le FTM, ces enfants qui sont nés et qui grandissent dans la guerre, l'humiliation et les privations ont eu droit à un petit havre de paix et de liberté. Même si cela n'a duré que 3 semaines, cela restera gravé à jamais dans leur mémoire. Il en est de même pour les enfants français qui ont beaucoup appris d'une autre culture et d'une situation dont ils n'avaient que les images, souvent déformées, de la TV. Ensemble ils ont créé une chanson " la chanson de Signes " " qu'ils ont écrite, composée et enregistrée dans le petit studio de fortune bricolé dans le centre de vacances par l'un des animateurs. Ils ont également créé et joué une pièce de théâtre et outre les activités sportives et de loisirs comme l'équitation, le quad ou la moto, ils ont organisé plusieurs soirées à thèmes. Voici des extraits du " récit d'une après-midi inoubliable " telle que l'a vécu et relaté Lidice Mozes, journaliste à l'hebdomadaire au patriote Côte d'Azur.

SIGNES : UN REVE DE TROIS SEMAINES

Les premières paroles échangées avec Pasha (12 ans) m'ont surprise : son corps d'enfants et son regard d'adulte m'ont bouleversée. Encore les cheveux mouillés, à peine sorti de la piscine, il est entré dans la salle où nous attendions les dix enfants palestiniens invités par le FTM, accueillis cette année par la CCAS des électriciens et gaziers de Signes. " Bonjour, my name is Pasha ", m'a-t-il dit en tendant sa main avec assurance et son regard fixe dans les yeux. Peu à peu, un par un, nous avons fait la connaissance des dix enfants invités. Ils avaient l'air heureux, insouciants… Pasha avait de toute évidence le rôle de leader. " Au début, il ne voulait pas nous faire la bise et il était renfermé sur lui-même ", racontait la directrice du centre en lui caressant les cheveux. " Maintenant il nous fait des câlins et nous sommes très proches, malgré la barrière de la langue ", a-t-elle poursuivit avec une certaine fierté dans le regard. Tout à coup, un groupe de filles françaises demandait où était Pasha. J'ai suivi du regard chaque geste et la complicité entre les deux groupes m'a frappée. C'étaient des enfants français également en vacances dans le centre. Ils se parlaient en anglais, avec des gestes ou avec des mots en français approximatif : une belle leçon de communication ! " … C'était triste " " Nous avons appris beaucoup de choses avec eux ", expliquait Marie, une Lilloise de 11 ans, fière de montrer qu'elle savait désormais écrire son prénom en arabe. Les enfants palestiniens ont présenté pendant leur séjour une pièce de théâtre qui a permis aux autres de voir leur quotidien. " Nous avons surtout beaucoup pleuré ", soulignait Chloé, 12 ans. " La pièce nous a montré la dureté de la colonisation israélienne et des checks points, le mur... C'était très triste. " Ahlam écoutait la conversation, les yeux pleins de larmes. Elle a 13 ans, vit à Jérusalem et son prénom veut dire rêve en français. De son séjour, elle gardera de très bons souvenirs : la piscine, les copines françaises, le paysage, les balades à cheval, la découverte d'aliments nouveaux… Mais elle était surtout triste parce que le lendemain le rêve s'achevait. " Un rêve de trois semaines ", commente-t-elle. Le départ s'annonçait dur. Son plus beau souvenir : Thomas, peut-être son premier amour. " … J'ai beaucoup de chance " " Mes amis ne me manquent pas ", avoue Ahmed, 11 ans, de Ramallah. Il veut raconter à tous qu'il a eu plein d'amis avec lesquels il a parlé en anglais. Un peu moqueur Mathias, jeune Français de 14 ans, suivait toute la conversation. Il était le prototype classique du pré-adolescent sans pitié. J'ai décidé de l'interroger sur son expérience dans le centre et sa relation avec les Palestiniens. Sa réponse m'a agréablement surprise. " J'ai compris que j'ai beaucoup de chance ", a-t-il dit en prenant un air sérieux. " Je vis dans un pays où il n'y pas de guerre et nous avons, contrairement à eux, tout ce qu'il nous faut ", a-t-il rajouté. La nuit commençait à tomber. Pasha, qui avait disparu pendant quelque temps, revenait avec un bracelet qu'il venait de faire pour moi avec les couleurs du drapeau français. Il l'a attaché à mon poignet pendant que je pensais à l'avenir difficile qui l'attendait. Je n'ai pas pu m'empêcher d'avoir un sentiment d'impuissance devant cet enfant qui ne demandait qu'à vivre en paix. De quel droit le gouvernement d'un pays peut-il empêcher les enfants d'un autre pays de vivre dans l'insouciance et la tranquillité ? Pasha, Ahlam, Ahmed et tous les autres sont rentrés chez eux la semaine dernière.
Lidice MOZES (Le Patriote Côte d'Azur)

Août 2007

Accueil d'enfants palestiniens
au Centre de vacances de la CCAS de La Palud Sur Verdon (04)

Je n'oublierai jamais.

Ils n'oublieront jamais le séjour qu'ils ont passé dans le Verdon. Ils l'ont tous écrit dans le journal des vacances qu'ils ont réalisé avec leurs camarades français dans le centre de la CCAS d'EDF-GDF de La Palud Sur Verdon (04). Ils, se sont 10 adolescents palestiniens. 6 garçons et 4 filles de 12 à 14 ans, venus de plusieurs villes de Cisjordanie. De Ramallah, Bethleem, Jenine, Naplouse, Hébron, Jefna, Al Ram. Durant trois semaines, ces enfants ont eu droit à un petit havre de paix et de liberté. Et beaucoup de moments de joie qu'ils ont emporté avec eux comme de " merveilleux souvenirs ". Chez eux, en Palestine, c'est tellement " le chaos ", que si ce n'était l'attachement à leurs familles, nous ont -ils avoué, ils auraient préféré ne pas y retourner. C'est ainsi, chaque été depuis six ans, grâce à leur partenariat avec le réseau Farah Group, l'association Festival TransMéditerranée et la CCAS des électriciens et gaziers (soutenus pas la Région PACA) unissent leurs efforts pour apporter un peu de bonheur à des enfants palestiniens. Mais aussi pour que les enfants et familles françaises d'électriciens et gaziers apprennent d'une autre culture et d'une situation dont ils n'ont que les images, souvent déformées, de la TV ;
et qu'ils soient à leur tour des relais de la solidarité.
Une solidarité concrète, humaine, grâce à laquelle le sourire illumine le visage de ses enfants qui, depuis qu'ils sont nés ne connaissent que la guerre, l'humiliation, les privations…
Merci pour ce beau cadeau " Vous nous avez permis de vous parler de notre vie quotidienne ; vous nous avez redonné de la force et de l'espoir pour la Palestine ". C'est Bassel qui parle, en français dans le texte. Ce jeune garçon de 14 ans, dont la famille a du quitter Naplouse pour Ramallah, apprend notre langue au Centre Culturel Français. (Il y en a un dans chaque grande ville palestinienne). Certains paysages de Provence lui font penser à son pays. Il aimerait bien pouvoir faire, comme ici, de l'escalade, de la rando aquatique, du cheval… mais, dit-il, dépité, ce n'est pas possible….Il ne sait pas s'il veut rentrer ou rester, mais ce qu'il sait c'est qu'il veut devenir ingénieur et faire ses études en France. Rasha elle veut aussi apprendre le français pour devenir architecte, en Palestine (sa maison, comme beaucoup d'autres, a été détruites par l'armée d'occupation). Avant de prendre l'avion de Nice pour Ramallah via Istanbul et Amman, les ados palestiniens ont fait escale à Grasse où ils ont pu visiter une parfumerie et le centre ancien et frayer, envieux, les cérémonies du 63è anniversaire de la Libération. Ils ont été salués notamment par Pierre Bernasconi du Conseil régional PACA et René Voarino de la CCAS d'Edf Gdf. C'était le dernier jour. Il flottait un zeste d'euphorie et de tristesse dans beaucoup d'émotion. La solidarité avec le peuple palestinien ne s'arrêtera pas là. Le Festival TransMéditerranée devrait accueillir dans le département au cours de la troisième semaine de septembre Fadwa Khader, la responsable du réseau Farah Group, militante des droits des femmes et de l'enfance en Cisjordanie. Par ailleurs l'association a choisi de célébrer la Palestine, sa culture, ses artistes à l'occasion de sa 20è saison en novembre 2007.



A La Palud Août 2007


En visite à Grasse


Août 2008
Accueil d'enfants palestiniens
au Centre de vacances de la CCAS de La Palud Sur Verdon (04)

Après des vacances inoubliables dans le Verdon,
ils sont repartis en Palestine gonflés d'espoir.


Ils (elles) s'appellent Noor, Kusay, Adam, Farouk, Dalal, Abir, Ramzi, Sliman, Raghda; ils ont entre 12 et 14 ans ; ils viennent de Naplouse, Bethleem, El Ram, Hebron, Tulkarem, Jérusalem…
Ces neuf adolescent(e), ont fait le voyage de leur Cisjordanie natale - et meurtrie - pour un séjour de 3 semaines en vacances à la Palud sur Verdon dans un centre de vacances de la CCAS des électriciens et gaziers. Cela fait 7 ans maintenant que l'accueil d'enfants palestiniens pour des vacances en France est organisé chaque été grâce à l'association Festival TransMéditerranée et la CCAS (avec l'aide de la Région PACA) et leurs partenaires en Palestine le Farah Group et l'Union des syndicats de Jérusalem.
Pour ces enfants, nés et vivants sous l'occupation et la violence, dans l'humiliation et le déni des droits, avoir partagé pendant trois semaines avec d'autres enfants de leur âge, repas, loisirs, sports, émotions… et autres activités somme toute " normales " pour des ados, c'était tout simplement merveilleux. Tout était nouveau pour eux. Voyager hors de chez eux. Découvrir la France. Pratiquer l'équitation, l'escalade, le canyoning…Circuler librement, pouvoir se déplacer sans croiser de barrages et de check points. Avant leur retour chez eux via Nice, Istanbul et Amman, ils ont fait étape à Grasse où ils ont visité une parfumerie et le centre historique.
Au cours du déjeuner auquel ont pris part notamment la conseillère régionale Adeline Mouton, le syndicaliste d'EDF représentant la CMCAS de Nice, René Voarino et les responsables du FTM, l'accompagnateur des enfants Suheil Khader dirigeant syndical à Jérusalem, a salué
cette " solidarité qui ne doit pas fléchir mais au contraire se renforcer ".
Ce qu'ils retiendront de ces moments, c'est, comme le dit Dalal - en français dans le texte - la paix et la liberté pendant que Kusay nous remerciait de leur avoir permis de garder espoir
.


A Grasse avant le départ


A cheval!


Dans le canyon


Les filles à la plage


dans le Verdon


en ballade à Nice

jeune cavalier


Avec leurs accompagnateurs


V comme Victoire